La douleur, la peur, la crainte....

J'aime voir dans les yeux des soumises, l'expression de la perte de contrôle. Souvent voulue mais toujours émotive. Je n'agresse jamais mes soumises, ce sont elles qui établissent les limites. C'est un plaisir mutuel que nous vivons ensemble....

Pas vraiment de la domination mais quand même...

Voici une histoire qui m’est arrivé en juin 2008.
Une femme me contacte avec le message suivant :
Cher Maitre, j’ai obtenu votre nom de la part de XXX. Voilà, je ne sais pas si vous allez pouvoir m’aider. Je sais que vous êtes dominateur. Je ne suis pas vraiment attiré par le bondage ou le fouet mais j’ai quelques fantasmes et j’espère que vous voudrez faire quelque chose pour moi. Voilà. Je suis mariée depuis 12 ans maintenant et je ne suis pas vraiment satisfaite sexuellement. Mon mari est devenu très pieu et vois maintenant la sexualité avec pudeur. Il est peu ouvert aux expériences et disons que nos relations sont très très conventionnelles. Je désire expérimenter. Je serais votre obligée si vous acceptiez de me baiser comme je le désir. J’ai 43 ans, 5 pied 1, 110 lbs, je fait attention à mon apparence. Ma poitrine est un C qui se tient bien. Au plaisir.

Disons qu’après quelques échanges, j’ai décidé de rencontrer cette pauvrette afin de lui faire connaître des choses nouvelles…
Nous nous sommes rencontré dans un motel. Lisa avait pris la chambre et avait préparé selon mes directives, la chambre pour mon arrivée. Petite odeur d’ambiance, quelques chandelles et une bonne bouteille de scotch. Elle m’attendait, la classique combinaison blouse, jupe. Je la fis tourner sur elle-même. Elle était vraiment sexy. Je m’assis dans le fauteuil et elle me servit à boire. J’allumai un cigare pendant qu’elle restait debout devant moi. Elle était horriblement gênée. Je lui demandais si elle comprenait que j’allais défoncer son petit cul, que j’allais enfoncer ma bite jusque dans ces entrailles et que même si elle criait comme une truie, je continuerais. Elle ne savait plus où regarder et je lui demandai de répéter. « Je veux ta queue dans mon cul, je veux que tu me baises comme une chienne ». Elle le répéta plusieurs fois. Je lui dis que j’allais jouir sur sa petite face de bourgeoise et je lui demandai de me demander de le faire. Elle répétait :« je veux votre sperme sur ma gueule. Je veux vous gouter. »
Je la fis se déshabiller lentement, elle avait vraiment un beau corps, des seins parfait comme je les aime. Elle enleva sa brassière et remis sa blouse, elle enleva sa culotte et garda sa jupe. Pendant que je buvais mon scotch, elle prit plusieurs poses. Elle s’approcha plusieurs fois de moi pour que je puisse la toucher. Elle avait le sexe inondée, elle respirait rapidement. Son sexe était gonflé. Je lui demandai de se masturber devant moi. Je lui dis d’enfoncer des doigts dans son sexe et de se gouter. Elle devait aussi se pincer les mamelons. Ses yeux m’implorais de la prendre, je sentais qu’elle n’en pouvait plus. Elle se mit à genou et me suça. Je tenais fermement sa tête. Elle avalait mon sexe comme une gourmande, ses yeux roulaient de plaisir. Je lui fis lécher mes couilles et elle gloussait. Je lui fit hurler de lui baiser le cul. Elle se releva et se pencha sur le lit, face première. Je lui fis écarter son cul avec ses mains. Je la pris dans sa chatte, en lui envoyant quelques claques sur les fesses. Elle émettait des cris de plaisir. Soudainement, je la pris dans son cul, elle hurlait et tapait sur le lit avec un main. Je pris fermement sa jupe roulée entre mes mains et la pénétra avec force pendant de longues minutes. Je la pris par les cheveux pour qu’elle se cabre. Je prenais fermement ses seins dans mes mains.
J’arrêtais de la baiser et pris un autre verre en fumant un cigare pendant qu’elle continuait de me bouffer la queue. Elle m’implorait de continuer à lui remplir le cul.
Quand je repris, je la mis sur le dos, elle replia ses jambes sur son corps et je baisais son cul en lui enfonçant mes doigts dans sa chatte. Je lui permis de jouir et elle hurla. Elle tomba de jouissance et de fatigue sur le lit. Je la revira à l’envers et j’éjaculai sur sa petite face, elle avait la bouche grande ouverte et sortait sa langue. Je lui foutu du sperme partout et elle lécha ma queue. Elle était là, avec sa blouse et sa jupe, en sueur, le cul en feu, les seins rougis par ma poigne et le visage plein de sperme… Elle était heureuse. Nous nous sommes revu quelques fois. Elle désirait pousser sa perversion plus loin.

Une lettre de Jasmine

Mon très cher Maître,

Lorsque nous nous sommes quitté je ne pouvais plus parler. Vous avez demandé de vous écrire pour debreifer notre expérience. Alors, voilà, je peux finalement penser un peu.

Depuis votre départ, j'ai ressenti un grand vide. Mes émotions sont à fleurs de peau et je pleure. Maitre, vous servir, vous obéir et devenir votre objet ont été les plus beaux moments de ma vie. Je me suis enfin réalisée. L'expérience que vous m'avez fait vivre m'a permis de m'épanouir et d'enfin me sentir femme comme je ne l'ai jamais sentie.
Je dois vous avouer que nos échanges sur internet m'ont laissé perplexe et que les nombreuses requêtes que vous m'avez faites m'ont parfois déplus. J'ai été obligée d'abandonner mes réflexes et mes craintes et de m'abandonner. Je ne regrette rien aujourd'hui. Je suis tellement heureuse d'avoir gagné votre confiance et de vous avoir finalement servis réellement. Je ne me pardonne pas d'avoir douté de vous. Sachez qu'aujourd'hui, je vous obéirai toujours sans limites.
J'ai beaucoup aimé notre rencontre. J'ai l'impression de toujours sentir vos mains qui me maintienne fermement pendant que vous me défoncer. Vous m'avez prise comme une chienne et j'en ai ressenti beaucoup de plaisir. Je dois avouer que j'ai eu beaucoup de difficulté à retenir mes orgasmes jusqu'à ce que vous me donniez la permission de jouir. J'ai beaucoup aimé me faire ligoter. Le regard que vous aviez sur moi, la manière dont vous m'avez touché, votre queue qui s'enfonçait dans ma bouche, jamais je ne me suis sentie aussi désirée et désirable qu'à ce moment. Je voudrais revivre ces instants éternellement.
Ce sont les moments que je retiens, franchement, ce fût pour moi simplement merveilleux. J'espère du fond du coeur que vous accepterez de me revoir. Je désire pousser mes limites encore si vous le voulez bien. Je suis certaine que vous pourrez m'amener encore plus loin.

Votre dévouée et très obéissante esclave
Jasmine

La contrainte

La contrainte physique est l'ultime pouvoir du Maitre, il permet d'utiliser sa soumise comme il l'entend. La soumise lui permet de prendre le contrôle sur tous les aspects. Elle se rend vulnérable. Les soumises recherchent cette perte. Elles désirent que le maitre prennent toutes les décisions et abusent d'elles. Être utilisé comme un objet. L'imprévu, la soumission parfaite. Certaines positions servent à démontrer son pouvoir, d'autres à ce faire plaisir. J'aime les attacher et les oublier un moment. Prendre un verre pour admirer mon esclave et planifier la suite...
Des exemples pour vous